Les programmations transgénérationnelles sont nos plus récentes constructions mentales, les plus "délicates" et "sensibles" car elles touchent nos liens de base, ceux avec le père, la mère, et les systèmes de croyances dans lesquels nous sommes nés. Mais qui parfois nous enferment et nous rendent malade. Je vous propose les outils pour décortiquer ces mystères de l'arbre qui est censé nous irriguer de sa force mais qui a parfois l'habitude de nous retenir d’Être...
Quand vous dites « Je », qui s’exprime à travers vous ? Cauchemars, maladies, ou échecs qui se répètent au cours de votre vie… Et si vous étiez en train de revivre à travers ces maux, les faits marquants de la vie de vos ancêtres, les conséquences de secrets familiaux, les deuils non-faits des « mal-morts ». Et si vous aviez du mal à changer car vous étiez hanté par le « fantôme familial » et en train de convenir aux loyautés familiales inconscientes plutôt qu’à votre vrai chemin d’âme ?
La science et la psychologie aujourd'hui sont unanimes : nous sommes le fruit de nos ancêtres ! Même notre ADN intègre les évènements positifs mais également les traumatismes vécus par vos aïeux. On savait déjà que seul 5% de l'ADN s'exprime, les 95% restants étaient alors décrit par la science comme "ADN poubelle". Imaginez la marge de progression (et de guérison) qui y réside ! Les chercheurs en épigénétique ont découvert ce que la psychogénéalogie pressentait depuis longtemps : des évènements collectifs traumatisants (tels que l'holocauste pour les juifs ou les bombardements de villes pendant les diverses guerres) laissent des traces visibles au microscope sur certains brins d'ADN.
Ces fidélités inconscientes à un ancêtre se manifestent parfois à travers le corps. Ainsi Louise (le prénom a été changé), 42 ans, tombe malade à 33 ans, au même âge que son grand-père et, tout comme lui, d'une maladie respiratoire. Elle est en psychanalyse, mais, sur les conseils d'un ami, décide de consulter une psychogénéalogiste. "J'étais consciente d'être tombée malade au même âge que mon grand-père. Mais, avec cette femme, j'ai compris à quel point mon aïeul, décédé à 36 ans, avait été idéalisé par ma grand-mère, qui ne s'est d'ailleurs jamais remariée, et par ma mère, qui était enfant à l'époque, raconte la jeune femme. Ma maladie était une façon inconsciente de me rapprocher de lui. Cette psychogénéalogiste, intuitive et subtile, a également pointé d'autres schémas répétitifs. Pour moi, cela faisait sens dans mon histoire." Louise a vécu un syndrome d'anniversaire. Ou comment l'on peut revivre un événement dramatique au même âge qu'un ancêtre, voire à la même date ou au même mois... Des répétitions conscientes ou pas, qui courent parfois sur plusieurs générations.
Anne Ancelin Schützenberger pense que l'événement originel peut même remonter à un ou plusieurs siècles. Une hypothèse qui ne fait pas l'unanimité parmi les psys, certains estimant que les effets d'un événement traumatique ou d'un secret de famille se diluent dès la génération des arrière-petits-enfants.
Article du Monde : Le poids de nos ancêtres.
Les enfants de remplacement sont des gens qui ont été conçu récemment après la mort de leur frère ou soeur. Après un avortement, une mort, un enfant mort-né, une fausse couche – jumeau perdu inclus, échec de FIV, grossesses extra utérine… L'enfant de remplacement sera souvent un bouc émissaire qui est attendu d'abord pour porter le fardeau dont ses parents tentent de se décharger sur lui. Le poids des attentes, exprimées ou non, de ses parents peuvent l'empêcher de prendre en main sa vie, de choisir, de découvrir lui-même et pour lui-même le sens de sa vie.
Voici d'après le livre "Le syndrome du gisant" de Salomon Sellam quelques prénoms indicateurs de gisants :
etc..
ATTENTION : On ne cherche dans les prénoms que des indices laissé dans par le Subconscient dans les projections qu'on fait sur les enfants, notamment à travers les prénoms. Ce ne sont pas des vérités absolues, ni des fatalités ! Un prénom dépend de la façon dont on vie, et pas l'inverse !
Ce sont les psychanalystes, Nicolas Abraham et Maria Török, qui ont introduit cette notion dans les années 1970. L’individu est en effet comme possédé par une structure émotionnelle qui parasite son psychisme de façon inconsciente. Celle-ci est vouée à passer d’une génération à une autre tant que le trauma initial n’a pas été mis à jour. La répétition de schémas relationnels identiques, la récurrence de dates ou de noms semblables dans la généalogie, l’existence de traumatismes enfouis, permettent d’identifier la présence d’un fantôme familial dans une lignée.
En psychanalyse, un "fantôme" c'est "la trace psychique en nous de quelque chose qui se serait mal passé pour nos ancêtres et qui surtout n'a pas pu être métabolisé. C'est un peu tous les traumatismes de nos ancêtres où il n'y a pas pu avoir de parole, de digestion." Ce qui fait le "fantôme" c'est le silence. Quand ça a été caché, omis, tu : à ce moment-là ça fait fantôme.Les "fantômes" les plus courants sont les enfants morts - des enfants morts-nés, morts très jeunes ou décédés vers 18 ou 20 ans - ce sont ceux qui empoisonnent vraiment les familles. Il y a aussi les secrets sur la paternité : à un moment il va y avoir une trace psychique chez un descendant, assez violente. Il ya aussi les fantômes d'avortements… Etc…
Lors de nos milliers d'enquêtes auprès de nos clients, nous avons découvert régulièrement l'origine de certains problèmes, blocages ou phénomènes dans ce qu'il nous est apparu logique d'appeler le Trans-Karmique : c'est à dire que ce sont à la fois des mémoires transgénérationnelles inscrites dans les gênes et la culture familiale, mais qui sont souvent décuplées parce que ce sont aussi des mémoires karmiques. Oui, une âme revient régulièrement s'incarner dans la même famille, et il n'est donc pas rare de trouver que X est la réincarnation de son arrière-arrière-arrière grand-mère.Souvent, pour finir un cycle. Clore un sujet.
C’est souvent très “FORT” de trouver ce genre de mémoire, qui impacte aussi bien l’âme que les mémoires cellulaires de la personne, autant que toute sa branche donc également toutes les croyances, comportements, habitudes familiales.
Étonnamment on retrouve souvent lors des soins, des infos transkarmiques qui sont le « point de capiton », c'est-à-dire d’après le célèbre mot du psychanalyste Jung, l’info qui fait le plus sens pour les personnes et qui permet de répondre à de nombreuses questions voir même de soulager instantanément des problèmes très anciens ! C’est l’effet libérateur du « AHHHH mais c’est donc ça ! », ça « POP » !
Chacune de nos cellules contient l’ensemble de notre patrimoine génétique : 46 chromosomes hérités de nos parents sur lesquels on compte environ 25 000 gènes. Mais si toutes nos cellules contiennent la même information, elles n’en font visiblement pas toutes le même usage : une cellule de la peau ne ressemble en rien à un neurone, une cellule du foie n’a pas les mêmes fonctions qu’une cellule du cœur. De même, deux jumeaux qui partagent le même génome ne sont jamais parfaitement identiques ! Dans ces exemples et dans bien d’autres, la clé du mystère se nomme "épigénétique".Alors que la génétique correspond à l’étude des gènes, l’épigénétique s’intéresse à une "couche" d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes vont être utilisés par une cellule… ou ne pas l’être. En d’autres termes, l’épigénétique correspond à l’étude des changements dans l’activité des gènes, n’impliquant pas de modification de la séquence d’ADN et pouvant être transmise lors des divisions cellulaires. Contrairement aux mutations qui affectent la séquence d’ADN, les modifications épigénétiques sont réversibles.Actif ou inactif, allumé ou éteint, exprimé ou réprimé : différents champs sémantiques sont couramment utilisés pour définir l’état d’un gène. Ils font tous référence au même phénomène : un gène est un segment d’ADN qui contient l’information nécessaire à la synthèse d’une ou de plusieurs molécules qui constituent l’organisme. Le gène est dit actif/allumé/exprimé lorsque cette synthèse a lieu. Sinon, il est inactif/éteint/réprimé. Mais évidemment, l’expression génétique n’est pas un processus fait de noir et blanc : il existe plein de niveau gris, avec par exemple des gènes très actifs, surexprimés (synthèse importante) ou encore partiellement réprimés (synthèse très faible)…Les modifications épigénétiques sont induites par l’environnement au sens large : la cellule reçoit en permanence toutes sortes de signaux l’informant sur son environnement, de manière à ce qu’elle se spécialise au cours du développement, ou ajuste son activité à la situation. Ces signaux, y compris ceux liés à nos comportements (alimentation, tabagisme, stress…), peuvent conduire à des modifications dans l’expression de nos gènes, sans affecter leur séquence. Le phénomène peut être transitoire, mais il existe des modifications épigénétiques pérennes, qui persistent lorsque le signal qui les a induites disparaît.
Je suis Jérémy Fryson, thérapeute et formateur. J’ai développé une méthode d’analyse transgénérationnelle - appelée Psychogénéalogie énergétique qui permet de comprendre avec divers outils de comprendre quelles mémoires s'expriment et génèrent dans votre réalité des situations ou comportements difficiles ou limitants. Des outils pour libérer les âmes et les fantômes familiaux, une libération profonde des êtres incarnés mais également de leur descendance Et des ancêtres désincarnés. En travaillant sur TOUTE la lignée, nous pratiquons à une réelle reconnexion énergétique afin de rétablir l’équilibre chez chacun.E, de refaire circuler l'énergie vitale !
En creusant ces concepts avec plus de 500 clients, en REdécouvrant les bases de l’énergétique notamment chinoise, en comprenant le fonctionnement des corps subtils, en m’intéressant aux « soins de lignées » de divers horizons et cultures, j’ai créée cette boite à outils qui va explorer la conscience, là où auparavant il y avait des butoirs de la pensée et donc de la guérison. Une séance de ce que j'appelle "PSYCHOGENEALOGIE ENERGETIQUE" libère un potentiel incroyable, des prises de consciences très importantes, et donc, remet en mouvement l'énergie vitale.
Nous n’avons pas besoin de faire une enquête de faits généalogiques (prénoms, dates, etc...) précis pour travailler en Libération transgénérationnelle et Psychogénéalogie énergétique ! Nous ne travaillons par sur l’arbre et ses vérités car ce qui marque votre inconscient / votre espace énergétique c’est aussi les mystères, les non-dits/non-faits/non-sus, les inconscients familiaux, etc… Ce qui est important n’est pas de savoir qui a exactement vécu quoi dans l’arbre mais quelle est la programmation que VOUS portez, où sont les exemples et loyautés, les répétitions et le projet familial qui vous enferment, et donc nous travaillons sur l’arbre intérieur, celui que VOUS portez dans votre inconscient. Ce que vous savez et même ce que vous ne savez pas EST déjà largement suffisant ! Car votre inconscient sait RÉVÉLER ce qui est nécessaire, quand on lui pose les bonnes questions, quand on a les outils simples à décoder ! Car l’objectif c’est de VOUS libérer des limites, des croyances, permettre de comprendre votre construction, et donc de libérer votre énergie vitale, celle de votre arbre intérieur. Voilà pourquoi la psychogénéalogie telle que je la transmets est un soin énergétique, car elle permet de nombreuses prises de conscience personnelle. Avec l’apport des outils que j’ai développé (et que je continue à développer) je vous accompagne pour VOUS comprendre...
Rien ne remplacera une discussion sur vos attentes, vos questions sur mon approche et ma façon de travailler, si vous le souhaitez. Sur les modalités de paiement...
Je vous propose donc qu’on se parle !
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